Comment faire des économies sur son assurance auto dans un contexte d’augmentation du coût de la vie

21.10.2022

Alors que l’inflation et la hausse des primes de caisses-maladie poussent les prix vers des sommets, les automobilistes suisses peuvent au moins encore faire des économies sur leur assurance auto

Non pas parce que le prix des assurances auto diminue, mais parce qu’un potentiel d’économies insoupçonné et non exploité s’y cache bien souvent. Voici quelques conseils pour en profiter pleinement.

Le Suisse moyen aime miser sur des partenariats à long terme, reconduits de manière automatique et exigeant le moins de travail possible. C’est pourquoi, consciemment ou non, ils acceptent des primes souvent élevées. C’est notamment le cas dans le domaine des assurances auto et moto, pour lesquelles de nombreux assurés peuvent procéder à un changement à cette époque de l’année. Une simple comparaison des offres peut permettre d’économiser jusqu’à plusieurs centaines de francs pour des prestations similaires. Mais pourquoi en est-il ainsi, et quelles sont les astuces pour réduire ces coûts?

La bonne date de résiliation
Comme dans d’autres domaines, tout automobiliste est lié pour son assurance auto à un contrat qui ne peut être résilié n’importe quand. C’est pourquoi il est important de connaître la durée de contrat établie. Jan Schöning, Senior Product Manager chez FinanceScout24, explique: «Souvent, les contrats expirent en fin d’année calendaire, mais parfois c’est en cours d’année, précisément à la date anniversaire de conclusion. Il est important de tenir compte du délai de préavis applicable, d’un ou trois mois, et d’envoyer le courrier de résiliation avant expiration de ce délai à la compagnie d’assurance». Néanmoins, il existe toujours certaines situations, par exemple à l’achat d’une nouvelle voiture ou si l’on n’a pas été satisfait du traitement d’un sinistre, pour lesquelles une police d’assurance peut être résiliée de manière exceptionnelle.

Exploiter les possibilités d’économies
Un autre facteur peut peser sur le portemonnaie en matière d’assurance auto: la double assurance, c’est-à-dire lorsque des assurés ont deux assurances pour un même type de sinistre. Avant de souscrire une nouvelle assurance, il convient donc de vérifier précisément quelles prestations sont déjà couvertes par les contrats existants. En effet, de nombreux assureurs auto cherchent à vendre à leurs clientes et clients une assurance occupants, qui est souvent tout à fait inutile. «Quand on vit en Suisse et que l’on s’installe dans un véhicule, on est suffisamment couvert contre les conséquences d’un accident par l’assurance accident obligatoire ou l’assurance maladie», explique Jan Schöning. L’assurance «objets transportés» est elle aussi superflue. Le principe est le même que pour l’assurance occupants: «Les objets emmenés dans la voiture sont souvent déjà couverts par l’assurance ménage. En cas de doute, demandez brièvement à l’assureur de cette dernière si ces types de sinistres sont couverts.»

Facteurs clés du calcul des primes
Les assurances auto calculent les primes sur la base de différents facteurs. C’est le cas notamment de l’assurance responsabilité civile obligatoire pour pouvoir circuler sur la voie publique, dont les prestations sont à peu près similaires chez tous les assureurs, mais parfois avec des différences de primes importantes. Les éléments clés sont le montant couvert et celui de la franchise. Dans tous les cas, ce dernier peut être défini librement. Le principe est le suivant: plus la franchise est réduite, plus la prime est élevée. «Si l’on opte pour une franchise plus élevée afin de réduire ses coûts fixes annuels, il faut constituer une réserve financière correspondante pour le cas où un accident se produirait», conseille Jan Schöning.

Néanmoins, l’assurance responsabilité civile obligatoire ne couvre pas les dommages du véhicule du propriétaire. C’est là qu’entrent en jeu les assurances casco intégrale ou partielle. «Si l’on a une voiture neuve ou dont la valeur est élevée, qui a moins de sept ans et est également utilisée par d’autres membres de la famille ou des amis, il est préférable d’opter pour la casco intégrale», affirme Jan Schöning. «Pour les véhicules plus anciens, ce n’est généralement plus avantageux». Quand on souscrit une assurance casco, il faut impérativement vérifier les dommages qui sont couverts. Car souvent, ils ne le seront que si cela est explicitement inclus dans l’assurance, en particulier en ce qui concerne les dommages de stationnement ou sur les bris de phares.

Même si un changement d’assurance auto ne remplit pas entièrement un portemonnaie déjà malmené, comparer les assureurs, par exemple sur FinanceScout24, peut permettre d’économiser plusieurs centaines de francs pour des prestations similaires. Il peut être intéressant de comparer régulièrement les assurances souscrites avec des alternatives possibles. Dernier conseil de notre expert Jan Schöning: «Que ce soit pour les voitures ou les motos, les plaques de contrôle peuvent être déposées de manière simple et rapide contre une petite participation, par exemple pendant l’hiver. Cela permet d’économiser une partie voire l’ensemble des frais d’assurance et taxes de transport pendant cette période. Le véhicule reste cependant assuré à l’arrêt». Les coûts annuels peuvent ainsi être considérablement réduits, par exemple pour les voitures de collection, camping-cars, cabriolets ou motos.

Fabian Korn, Corporate Communications Manager

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Marta Andreoni

Head of Design for Automotive

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I’m Marta Andreoni, Head of Design at SMG Automotive. I lead the design and UX writing team shaping AutoScout24 user experience. 

In my role, I wear many hats. My main focus is ensuring we stay true to our vision “simplifying people’s lives and connecting humans through innovative digital platforms” and our brand promise, “make it happen”. I challenge my team to think user-first, push for innovation, ease of use for our customers and make forward-thinking decisions, even within business and technological constraints.

 A big part of my role is supporting each designer’s growth, motivation, and career development. Through one-on-one coaching, mentoring, group work, and projects, I help my colleagues set and achieve their goals while fostering new learning opportunities.

What helps you feel empowered and confident in your role?

If I had to mention one thing I would say “being proactive” has been key to feeling more empowered. I enjoy solving problems, so when issues or opportunities arise, be it in the product, market or the team, I get curious and I proactively investigate the reasons and try to bring inputs to be discussed with others, this makes me feel I can be part of the process or solution and my point of view is going to be taken seriously. My optimism also plays a role, giving me confidence that even the most complex challenges can be solved. 

Besides, having trust from other managers and colleagues makes me feel in a safe environment where I can take ownership on topics I’m passionate about. 

What’s one thing SMG does well in fostering an inclusive workplace? What more can be done to amplify and support different perspectives in the workplace?

In my experience, we strive for balancing top-down and bottom-up inputs, ensuring employees can influence product directions, processes, and culture. People are approachable, and our strong feedback culture helps voices be heard. Across SMG, initiatives like regular People & Culture Surveys, topic guilds, and events in our locations across the world foster open exchange and mutual learning.

That said, I’ve noticed that quieter voices sometimes get less space, or interacting with top management can feel intimidating, especially when giving critical feedback. To make participation more inclusive, we could apply more facilitation and group work techniques like structured turn-taking, written input, and smaller group discussions – ensuring everyone, regardless of confidence level, seniority or personality, feels comfortable contributing. 

Design is often about seeing the world differently. How do unique perspectives contribute to more innovative, inclusive, or impactful design?

Design is about understanding diverse user personas and perspectives to create solutions that truly meet their needs or create new opportunities. I believe in the power of collaboration to shape user experiences – bringing together different disciplines, backgrounds, and lived experiences helps challenge assumptions, uncover blind spots, and drive more inclusive, innovative, and impactful solutions.

Looking back on your career, what’s one lesson or piece of advice you wish you had known earlier as a leader in design?

There are three things no one really prepares you for as a design leader: dealing with constant change, facing failure and handling emotions at work. These topics aren’t talked about much until you face them. I was lucky to learn from others’ experiences, but much of it came through my own.

One thing I wish I had understood earlier is the power of emotional intelligence, my job is no longer about the content and the design, it is about people. Self-awareness, not just of your own emotions, but also how others feel and react, can be the difference between conflict and harmony, frustration and clarity. The more I grow as a leader and designer, the more I realise that design isn’t just about doing the design job, delivering solutions on the market: it’s about navigating people, their emotions, and making change more acceptable and transforming issues into opportunities, both within the organisation and through great products.

 

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