Enquête FinanceScout24 : quel est le budget des amoureux pour la Saint-Valentin 2022 ?

11.02.2022

La Saint-Valentin tombe ce lundi 14 février 2022. Il s’agira là d’une excellente occasion de témoigner son amour à sa moitié avec une petite attention. Une enquête actuelle menée par FinanceScout24 montre que près de la moitié des Suisses célèbrent la journée de l’amour.

Quels sont les cadeaux les plus prisés parmi les amoureux et combien d’argent sont-ils prêts à dépenser pour les acheter ? Les plus futés font des économies ciblées.

La Saint-Valentin est traditionnellement la journée au cours de laquelle les amoureux échangent des vœux. D’après une enquête représentative menée par FinanceScout24, 45 pour cent des sondés célèbrent cette journée particulière consacrée à l’amour. 30 pour cent d’entre eux indiquent qu’ils la célèbrent pour témoigner leur amour à leur moitié. Environ un quart des personnes interrogées le font « parce qu’offrir des cadeaux leur fait plaisir ». La tradition, que nombre de Suisses sont désireux de respecter, arrive en troisième place. Les données montrent également que les hommes se sentent plutôt redevables. 21 pour cent d’entre eux affirment en effet qu’ils célèbrent l’occasion « parce que c’est ce que leur conjointe attend de leur part », alors que les femmes ne sont que 5 pour cent dans ce cas.

Un dîner en ville ou un bouquet de fleurs sont les cadeaux les plus prisés

Les Suisses sont à peu près d’accord sur le choix du cadeau. Le dîner romantique au restaurant et le bouquet de fleurs restent les deux présents matériels les plus couramment offerts (respectivement 42 pour cent et 40 pour cent). Suivent de près le bon pour une activité à deux (26 pour cent), la traditionnelle boîte de chocolats (22 pour cent) et la petite escapade en amoureux (18 pour cent). Les peluches ou les cadeaux plus universels sont moins appréciés.

Les hommes sont plus généreux pour leurs cadeaux de Saint-Valentin

Cette année, il semblerait que la Saint-Valentin soit la journée des petites attentions, tout du moins celles adaptées au budget que les Suisses prévoient pour leurs cadeaux. La plupart des sondés (31 pour cent) déclarent qu’ils déboursent entre CHF 21 et CHF 50, 27 pour cent dépensant même moins de CHF 20 pour un cadeau. À peine un quart des Suisses (23 pour cent) dépensent entre CHF 50 et CHF 100.

Les hommes sont généralement plus dépensiers que les femmes. Une femme sur trois (35 pour cent) prévoit de consacrer moins de CHF 20 pour des cadeaux à l’occasion de la Saint-Valentin, contre seulement un homme sur cinq (21 pour cent). Plus de la moitié des hommes interrogés prétendent qu’ils dépensent entre CHF 21 et CHF 100 pour leur moitié.

Disparités régionales entre la Suisse romande et la Suisse alémanique

Il convient de noter que les Romands qui ont participé à l’enquête (29 pour cent) dépensent bien plus souvent entre CHF 51 et CHF 100. que leurs compatriotes germanophones (19 pour cent). Ils choisissent plutôt une petite escapade de courte durée, un cadeau nettement plus cher qu’un bouquet de fleurs par exemple (Suisse romande 23 pour cent, Suisse alémanique 16 pour cent). En Suisse alémanique, les amoureux préfèrent quant à eux offrir des chocolats (24 pour cent contre seulement 17 pour cent en Suisse romande).

Le cadeau de la Saint-Valentin : une question d’argent

Aussi variés que puissent être les cadeaux, la Saint-Valentin exige des amoureux qu’ils aient les moyens. Ceux qui scrutent leurs finances peuvent économiser plusieurs milliers de francs. C’est ce que montre une analyse actuelle d’une comparaison d’assurances menée par FinanceScout24. Le propriétaire d’une Tesla Model 3 est ainsi en mesure d’économiser jusqu’à CHF 1 157.31 en moyenne alors que cette somme n’est que de CHF 568.46 pour le conducteur d’une Audi Q3.

22 boîtes de chocolats supplémentaires pour la Saint-Valentin : Tesla surpasse Audi

La comparaison montre que dans le canton de Zurich, le conducteur d’une Tesla peut économiser CHF 1 716 sur son assurance automobile alors que l’économie potentielle du propriétaire d’une Audi Q3 ne dépasse pas CHF 598 dans le même canton. « Cette nette différence de CHF 1 100 équivaut à 22 boîtes de chocolats supplémentaires d’une valeur de CHF 50 chacune, voire même à un court séjour romantique », déclare Matthias Suter, Head of Product Management de FinanceScout24.

« Un potentiel d’économie semblable a été identifié dans les autres cantons. Cela ne signifie toutefois pas que tous les assurés doivent changer immédiatement de canton ou acheter une voiture neuve. Des comparaisons d’offres régulières suffisent en effet pour réaliser des économies qu’ils peuvent ensuite investir dans un cadeau destiné à leur moitié à l’occasion de la journée des amoureux. »

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Marta Andreoni

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I’m Marta Andreoni, Head of Design at SMG Automotive. I lead the design and UX writing team shaping AutoScout24 user experience. 

In my role, I wear many hats. My main focus is ensuring we stay true to our vision “simplifying people’s lives and connecting humans through innovative digital platforms” and our brand promise, “make it happen”. I challenge my team to think user-first, push for innovation, ease of use for our customers and make forward-thinking decisions, even within business and technological constraints.

 A big part of my role is supporting each designer’s growth, motivation, and career development. Through one-on-one coaching, mentoring, group work, and projects, I help my colleagues set and achieve their goals while fostering new learning opportunities.

What helps you feel empowered and confident in your role?

If I had to mention one thing I would say “being proactive” has been key to feeling more empowered. I enjoy solving problems, so when issues or opportunities arise, be it in the product, market or the team, I get curious and I proactively investigate the reasons and try to bring inputs to be discussed with others, this makes me feel I can be part of the process or solution and my point of view is going to be taken seriously. My optimism also plays a role, giving me confidence that even the most complex challenges can be solved. 

Besides, having trust from other managers and colleagues makes me feel in a safe environment where I can take ownership on topics I’m passionate about. 

What’s one thing SMG does well in fostering an inclusive workplace? What more can be done to amplify and support different perspectives in the workplace?

In my experience, we strive for balancing top-down and bottom-up inputs, ensuring employees can influence product directions, processes, and culture. People are approachable, and our strong feedback culture helps voices be heard. Across SMG, initiatives like regular People & Culture Surveys, topic guilds, and events in our locations across the world foster open exchange and mutual learning.

That said, I’ve noticed that quieter voices sometimes get less space, or interacting with top management can feel intimidating, especially when giving critical feedback. To make participation more inclusive, we could apply more facilitation and group work techniques like structured turn-taking, written input, and smaller group discussions – ensuring everyone, regardless of confidence level, seniority or personality, feels comfortable contributing. 

Design is often about seeing the world differently. How do unique perspectives contribute to more innovative, inclusive, or impactful design?

Design is about understanding diverse user personas and perspectives to create solutions that truly meet their needs or create new opportunities. I believe in the power of collaboration to shape user experiences – bringing together different disciplines, backgrounds, and lived experiences helps challenge assumptions, uncover blind spots, and drive more inclusive, innovative, and impactful solutions.

Looking back on your career, what’s one lesson or piece of advice you wish you had known earlier as a leader in design?

There are three things no one really prepares you for as a design leader: dealing with constant change, facing failure and handling emotions at work. These topics aren’t talked about much until you face them. I was lucky to learn from others’ experiences, but much of it came through my own.

One thing I wish I had understood earlier is the power of emotional intelligence, my job is no longer about the content and the design, it is about people. Self-awareness, not just of your own emotions, but also how others feel and react, can be the difference between conflict and harmony, frustration and clarity. The more I grow as a leader and designer, the more I realise that design isn’t just about doing the design job, delivering solutions on the market: it’s about navigating people, their emotions, and making change more acceptable and transforming issues into opportunities, both within the organisation and through great products.

 

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